joi, 20 ianuarie 2011

La Marseiilase

La Marseillaise est un hymne à la liberté et accompagne souvent les manifestations officielles ou sportives.
Suite à la déclaration de guerre du roi à l'Autriche en 1792, la Marseillaise a été composée par L'officiel Français Rouget de Lisle.
La Marseillaise a été reprise par les gardes nationaux marseillais lors de l'insurrection des Tuileries le 10 août 1792. Il fut déclaré chant national le 14 juillet 1795. Plusieurs versions de la Marseillaise ont été élaborées.
Cet hymne n'a été reconnu officiel que sous la III éme République.
Les constitutions de 1946 et de 1958 ont de nouveau confirmé le caractère officiel de l'hymne dans l'article 2.

1er couplet

Allons enfants de la Patrie,
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie,
L'étendard sanglant est levé, (bis)
Entendez-vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos bras
Egorger vos fils et vos compagnes !

Refrain

Aux armes, citoyens,
Formez vos bataillons,
Marchons, marchons !
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !

2éme couplet

Que veut cette horde d'esclaves,
De traîtres, de rois conjurés ?
Pour qui ces ignobles entraves,
Ces fers dès longtemps préparés ? (bis)
Français, pour nous, ah ! quel outrage
Quels transports il doit exciter !
C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à l'antique esclavage !

3éme couplet

Quoi ! des cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers !
Quoi ! ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers ! (bis)
Grand Dieu ! par des mains enchaînées
Nos fronts sous le joug se ploieraient
De vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées !

4éme couplet

Tremblez, tyrans et vous perfides
L'opprobre de tous les partis,
Tremblez ! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leurs prix ! (bis)
Tout est soldat pour vous combattre,
S'ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux,
Contre vous tout prêts à se battre !

5éme couplet

Français, en guerriers magnanimes,
Portez ou retenez vos coups !
Epargnez ces tristes victimes,
A regret s'armant contre nous. (bis)
Mais ces despotes sanguinaires,
Mais ces complices de Bouillé,
Tous ces tigres qui, sans pitié,
Déchirent le sein de leur mère !



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